lundi 31 mars 2014

le restaurant "Maghreb", 40 Rue Mimont, CANNES, obtient un triple FUCK

Maghreb, 40 Rue Mimont, CANNES…Une violente envie de couscous, me conduit vers ce restaurant dont j’avais vaguement entendu parler. Mais, je n’irai pas quatre chemins, ce fut la première et dernière fois, car  l'expérience a été pathétiquement catastrophique. Je vous la relate…Nos deux couscous, spécialité de la maison, ont été très longs à arriver! Un comble car c'est le seul plat servi dans cet établissement. Le décor est pitoyablement banal et quand on connait la qualité de l’artisanat des différents pays du Maghreb, c’est lamentable de donner une telle image de ces pays. Les assiettes finissent par arriver et sont posées sur table, nous offrant un spectacle désolant. Elles sont  garnies chichement,  très peu de graine et sans plus de générosité pour le reste du plat, trois légumes seulement,  de grosses carottes, beaucoup de carottes (il devait y avoir une promotion dans le coin!) des énormes navets pas assez cuits accompagnés d'un pauvre morceau de courgette molle. Mon couscous aux merguez, a du être terminé au lance flamme ou flambé au napalm, car la graine est surmonté de trois bâtons calcinés du plus bel effet graphique!! Quand c'est noir c’est cuit dit une expression populaire, et bien non,  quand c’est noir c’est immangeable!!! Le plat de mon amie, est garni d’un poulet anémié et  insipide, juste cuit a la vapeur et n'ayant pas baigné dans un bouillon parfumé comme cela doit se faire. Nous mangeons du bout de la fourchette ce qui est ingurgitable, c'est-à-dire la graine agrémentée de bouillon, car nous sommes affamés. Je m’attends à ce que le serveur propose de nous resservir, au moins ce qui est consommable, c’est à dire la semoule, comme cela se fait traditionnellement, mais il débarrasse les assiettes a moitié pleines, sans poser de question et propose seulement un dessert. Le congélateur fourni par le fournisseur de saloperies surgelées, bien en évidence dans la salle, nous indique qu’il faut refuser la proposition.Le couscous est un plat convivial et très généreux, alors quand il est servi chichement dans une petite assiette il en perd son essence.  Le vin proposé au verre est d'origine algérienne (c’est ce qu’il y a de moins cher sur la marché, mais ce n'est peut être pas le meilleur choix!) est réellement imbuvable et facturé au prix de la bouteille dans l’épicerie voisine!!!En sachant que ce restaurant si situe dans un quartier populaire ou l’on s’attend à trouver des prix doux et non ceux pratiqués sur la Croisette et en  connaissant le prix de revient d’un couscous, cet établissement s’avère être très très cher. Bouffe immangeable, décor médiocre, professionnalisme absent et tarifs excessifs,  ça c’est de l’arnaque. Cet endroit est infréquentable,   à impérativement EVITER et donc un triple fuck pour cette adresse cannoise.

vendredi 21 mars 2014

GUIDE FUCK...LIBER'TEA a NICE

  


un magnifique triple "fuck" pour le "liber'tea" a Nice

Je vais inaugurer cette rubrique avec ma dernière (chronologiquement)  mésaventure. C’était la semaine dernière, le 15 mars, j’avais envie de quitter mon écran d’ordinateur et d’aller voir le soleil en vrai. Je me rends donc à Nice en fin de matinée, avec des envies de promenade et d’un repas agréable. Je me souviens qu’il y a, rue de France, un formidable cuisinier japonais, Keisuke Matsushima, nous nous y rendons a tout hasard et ce dernier fit mal les choses car le restaurant était fermé. Nous déambulons parmi la multitude de restaurants avec employés racoleurs (il me semblait que cela était interdit) et décidons de chercher une place au soleil, elles sont rares et compte tenu de l’heure tardive, nous jetons notre dévolu et nos fesses sur deux chaises libres en terrasse et au soleil, d’un établissement appelé très subtilement « le Liber’tea ». L’accueil est digne d’un bar parisien, peut on encore employer le mot accueil d’ailleurs. Nous trouvons deux cartes très compliquées avec des propositions par tranches horaires. Je pense que nous allons partir et tenter notre chance ailleurs, lorsqu’un serveur nous apporte les bonnes cartes, celles correspondant à l’horaire en cours!! Le bon sens me dit de fuir, mais mon ventre me demande à être nourri rapidement, nous commandons donc 1club sandwich et un tartare « classique », accompagnés de 50 cl de vin rosé, du genre que l’on boit quand on pas envie de boire de l’eau...ni du vin !! Nous nous concentrons sur le plaisir procuré par le soleil lorsque les assiettes arrivent. Le club sandwich est anémique avec un pain d’une blancheur et d’une mollesse sans égal. Le tartare, est en fait de la viande hachée (à chier) avec de gros morceaux de mauvais oignons, couronnée par un jaune d’œuf. Apres avoir gouté je ne trouve justement pas de gout ! Je rajoute du sel, du tabasco, l’huile d’olive disponible qui s’avère être une insulte a ce noble produit,  j’évite la poussière de poivre, ça va de soi, je mélange tout cela et goute a nouveau mais le plat reste insipide. Je rajoute tout ce que je trouve, sale et tabascote plus que de raison, mais rien n’y fait, la viande n’a toujours pas de gout, pas plus que les frites. Les trois feuilles de salade ne sont pas assaisonnées, mais le gros nul qui fait office de cuisinier n’a pas omis de faire des zigouigouis avec de la réduction de vinaigre caramélisé, baptisée « balsamique ». Nous mangeons vraiment pour nous nourrir, sans aucun plaisir et cette ignominie facturée a 42.00€ pour 2, sans café, sans dessert, aura réussit à nous faire oublier qu’on aurait pu passer un moment agréable au soleil. Il y en a marre de ces établissements qui servent de la MERDE,  facturée très chèrement. A ce prix la, on peut proposer des plats simples et gouteux. Honte a vous le liber’tea.  Alors évitez ce lieu, même si ses voisins ne sont peut être pas mieux !

Liber’tea 9 bis rue de la liberté 0600 Nice.      



CREATION DU GUIDE "FUCK", DES RESTAURANTS A EVITER.

Billet de mauvaise humeur…J’ai longtemps pensé, que la critique culinaire ne devait pas « égratigner » et se contenter de parler des bonnes adresses, mais les choses ont mal évoluées et aujourd’hui, au pays de la gastronomie, ou l’on ne parle que de cuisine et de chefs, qui compte des dizaines de revues spécialisées dans la cuisine, dont tous les magazines proposent une rubrique culinaire à l’instar des chaines de télévisions, et bien, hormis les magnifiques propositions élitistes de vrais chefs,  globalement on mange mal en France.  A Paris l’on peut tirer son épingle du jeu et trouver des bistrots ou petits restaurants honorables dans tous les arrondissements, mais tout le monde n’habite pas Paris!! Quand on vit en Province ou quand on s’y déplace, si l’on n’est pas très organisé, avec guides et réservations en main, on fait de mauvaises expériences et cela est devenu insupportable. Alors j’ai décidé de relater les miennes et de signaler les lieux pathétiques avec des prestations qui sont de vraies arnaques, car dénoncer est devenu un devoir.Voici donc la première rubrique du  « GUIDE FUCK » des restaurants à éviter…Les endroits ou vous pourrez vous rendre et manger un vrai plat avec gout, à prix normal, feront l’objet d’un guide prochainement, ou seule l’assiette sera notée. Ce guide ne sera pas un défouloir pour règlements de compte entre professionnels, il y a TripAdvisor pour cela, il ne s'agit pas de parler de lieux ou la cuisine ne m'a pas plu, mais de dénoncer les vraies arnaques.  Il n’a pas la prétention d’être exhaustif, car il devrait alors dénoncer au moins  90% des restaurants existants, il relatera mes coups de gueule suite a de catastrophiques expériences, dans des lieux ou j’ai réellement « mangé » au hasard de mes déplacements. 

mon ami "grincheux"


Il n'y aura pas de distribution d'étoiles, mais avec l'aide de mon ami "grincheux", nous attribuerons des « fuck ».